hassainia messaoud

Il est reconnu que le degré de crédit des sociétés commerciales est lié à la suffisance du capital pour faire face aux risques. Les concessionnaires sont donc particulièrement attentifs à la taille du capital, première défense de leurs droits en cas de perte ou de faillite de la société.
Bien que le développement de la société en tant que système ait abouti à un jugement rationnel assurant un équilibre entre les droits des actionnaires et les devoirs des dirigeants grâce à un ensemble de principes de gouvernance d'entreprise protégeant les actionnaires d'une gestion excessive, la pérennité de l'équilibre entre les droits des actionnaires et ceux des créanciers reste un obstacle à la stabilité.
L’objet de l’étude de cette question est basé sur le problème du déséquilibre entre le très petit capital en tant que garantie générale des créanciers et la taille de l’activité réelle et importante des sociétés commerciales, en particulier des deux sociétés par actions et de la responsabilité limitée, en d’autres termes le problème de l’incompatibilité entre le principe de stabilité et l’adéquation du capital au regard des conflits d’intérêts entre créanciers Et les actionnaires après la création de sociétés commerciales et doublé la taille de leur activité réelle